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Pas d’araignée quand j’imagine la toile, mais un poulpe qui nage et qui va, tendu dans les confins, et explorant un monde qu’il invente. Tout le monde et en vrac, ça chahute à l’écran, et bien souvent de la beauté par provision, de ces choses que l’on augmente en les partageant. Bien des pairs et tout se transforme, ça converse et çà convertit: merci François pour ces océans et ces abysses.

Azélie Fayolle

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Azélie, vidéaste et toucheuse de mots

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