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François,

 

Tout d’abord un franc et sincère MERCI pour cette rencontre qui a eu la force de bousculer mon rapport à l’écriture, à la lecture. Et même si le tout avance en dents de scie, il y a là quelque chose qui reste en mouvement, un élan, tenace, même par temps de fuite. Je te le dois. Comme je te dois le réel pour point de départ, l’accumulation de matière pour compagnon de route, le fragment pour texte. Et surtout ton regard, toujours bienveillant et encourageant. Tu boostes chacun de nous. Tu trouves l’énergie qui se cache sous chaque projet, chaque écriture.

 

Et puis ces auteurs que je ne connaissais pas, ne côtoyais pas. Charles Juliet, Marguerite Duras, Simenon, Georgio Manganelli. D’heureuses façons de constuire sa bulle à mots, son monde, de le confronter.

 

Et puis eux aussi, ces passionnés de mots, d’images, de sons. Stewen, Milène, Gracia, Marc, Annick, Catherine et tant d’autres. Réseau solide, solidaire, d’échanges, d’encouragements. Je ne savais pas que Facebook pouvait prendre un tel tournant.

 

Reste plus qu’à trouver le déclic pour que l’écriture ne soit plus hésitation, peur, rejet. Qu’elle ne s’arrête plus. Qu’elle soit overdose. Et ainsi être à la hauteur de ce que tu m’as apporté, apportes à chacun de nous.

 

Enfin, et autant que possible, fidélité à ton travail. Ton site, tes livres, tes vidéos. Du beau boulot. Que ça continue !

 

Amicalement.

Annick

Annick Brabant

Photo Annick Brabant.jpg

En quête d’un soi qui ne serait plus éphémère, contresens, frôlement de fuite. 

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